La Vengeance de MORSAY nominé aux OSCARS !

Morsay - La Vengeance

Morsay – La Vengeance

Inutile de vous dire qui est Morsay, ni de présenter son film ou devrait-on dire son chef-d’œuvre La Vengeance.

C’est le film qui a tout simplement traumatisé la scène cinématographique à sa sortie.

Avec la participation de Swagg Man et de son album choc NecroPedoSadoMaso (lisez l’analyse ici), le film La Vengeance se voit donc tout naturellement récompensé par une nomination aux oscars du meilleur film de l’année.

Malheureusement, le film La Vengeance est toujours boycotté et censurer en France par les fils de pute de rageux de l’état français.

Raison de ce boycott ? Ce serait parce que les paroles de la bande-son, l’album NecroPedoSadoMaso) de Swagg Man donc, seraient jugées inappropriées pour un public large.

Vous pouvez écouter un extrait de cet album ici.

Mais si l’album en lui-même est boycotté par les pouvoirs publics, les fans de VRAI cinéma eux savent l’apprécier à sa juste valeur.

Celle d’un génie pur comme il n’en existe pas deux.

Morsay défend l'album NecroPedoSadoMaso

Morsay défend l’album NecroPedoSadoMaso

Il y a un Mozart pour la musique, un Céline pour le roman, un Socrate pour la philosophie… il y a maintenant un Morsay pour le septième art.

Mais ne me croyez pas sur parole, écoutez plutôt ce que les critiques de cinéma ont à dire sur ce chef-d’œuvre diabolique qu’est La Vengeance de Morsay.

Place aux avis des critiques de films !

Un film dérangeant… Morsay et Zehef, frères et amants, essaient tant bien que mal de vivre leur histoire d’amour interdite, dans un milieu où l’homophobie sévit, et trouvent refuge dans les caves obscures de Clicli ; ils y rencontrent un troisième larron, le bien nommé Cortex, intellectuel stérile en quête de nouvelles expériences, qui se laissera tenter par le triolisme.

Nos trois éphèbes, ivres de leurs amours inavouables, s’adonneront avec frénésie aux pratiques pédosexuelles de la Grèce antique, dans un torrent de passion virile et tendre sous le fond d’une douce musique « NecroPedoSadoMaso » de Swagg Man… qui est ma foi très appropriée.

Une histoire bouleversante qui vous donnera sans nulle doute l’envie de vous laisser pousser la moustache.

Bien vu.

On précisera que l’album NecroPedoSadoMaso est de SEWER, le groupe de Swagg Man et Morsay mais dont Swagg Man est le vocaliste et chef de groupe.

Qui a dit que la banlieue n’était pas (mo)rose ?

Effectivement un beau message de tolérance sur l’homosexualité en banlieue, Morsay et Zehef font leur coming out et finissent chez le grec pour une belle brochette juteuse.

Prochain épisode : Cortex va au sauna et ressort en boitant, le séant douloureux… tout un programme !

Voilà un avis positif sur ce film qui a révolutionné le septième art.

Superbe histoire d’amour entre deux jeunes hommes biens dégarnis.

La société s’oppose à leur homosexualité épanouie, mais eux s’en fichent et montrent que même en banlieue l’acte d’amour truand surpasse tout. On regrettera le manque de scènes de nu avec le splendide Morsay dont le beau crâne chauve et belliqueux en émoustillera plus d’un.

La comparaison avec la Septième Symphonie de Mozart n’est pas outrancière.

Encore une comparaison du génie créatif de Morsay avec celui de Mozart.

Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin.

Tout simplement inoubliable.

Ce film attendu par le public et la critique depuis si longtemps n’a évidemment pas déçu. On suit le parcours de deux jeunes pleins d’avenir qui suite à une erreur judiciaire se retrouvent en prison. Dès leur sortie leurs chemins se séparent.

L’un, Zehef, choisissant de devenir un businessman respecté. Grimpant rapidement les échelons du monde des affaires en investissant le marché des T-Shirts de bon goût.

Tandis que son frère, Morsay, exténué par la corruption, l’injustice du système Illuminati et les sirées Kébabs/Village People décide de devenir un trafiquant de haut vol. Il devient rapidement une figure incontournable du trafic de stickers panini et de fraises tagada.

Leur haine envers la république judéo-maçonnique dite « française » et les poukaves homophobes itinérantes, qui s’opposent à leurs ébats amoureux pourtant certifiés halal par le boucher/marchand de crêpes de Vitry-sur-Seine, rapprochent les deux frères.

Ce film dispose d’une photographie impeccable et de dialogues soignés. Le jeu des acteurs et l’intrigue nous entraînent dans un tourbillon d’émotions. Après la phrase finale, on reste subjugué par la magie créée par ce monument de cinéma. Une seule envie, voir une suite.

Monseigneur Henry Delassus serait fier !

Ce film retrace la vie de deux homosexuels en quête de merguez.

Rarement le cinéma nous aura offert une telle perle. Le jeu d’acteur est époustouflant. Les scènes entre Morsay et Zehef frôlement la perfection. Ce film est une réussite totale. À voir et à conseiller, surtout à la mère de Morsay.

Elle ne risque pas de le manquer !

J’AI FAIT UNE DESCENTE D’ORGANES PENDANT LA SÉANCE !

Que le téméraire Morsay soit loué de n’avoir failli à ses engagements, en faisant naître dans la douleur et au travers d’un combat politique acharné un véritable bijou du Cinéma, un long-métrage poignant alliant un jeu d’acteur qui laisse pantois à un scénario subtile qui n’est pas sans rappeler la douce mélopée de la pensée NecroPedoSadoMaso à ses débuts. Si j’ai néanmoins une légère critique à émettre, je trouve que Swagg Man est plus ou moins spectateur de son propre rôle, malgré une prestance époustouflante, je ne serai pas étonné que ce Swagg Man prenne très prochainement à la télévision la place de « Vincent Mac Doom ».

Qui sait de quoi l’avenir de ce jeune interprète plein de talent sera fait ?

Il n’existe pas de mots assez puissants pour décrire ce que m’a fait ressentir ce chef-d’œuvre du 7ème art !! La mise en scène et l’action sont saisissantes, sans parler des dialogues qui rendent hommage à la langue de Molière dans toute sa splendeur. Je ne dévoilerais pas le scénario mais je ne vous cache pas qu’il n’a rien à envier à un blockbuster hollywoodien.. je n’ai pu retenir une larme à la fin en entendant la douce musique « NecroPedoSadoMaso » de Swagg Man…

Une bande-son émouvante à écouter avec les enfants.

Un film complètement déjanté avec des perles cinématographiques incroyables. Le film nous parle de Morsay, ancien chômeur handicapé mental depuis petit qui, au fur et à mesure du film, deviendra quelqu’un d’important de la sociétés actuelle…

Il est discriminé tout d’abord à cause de son handicap cérébral mais aussi de par son homosexualité non-refoulée qui n’est pas acceptée en cité… Mais Morsay ne se laisse pas faire et décide avec Zehef de se battre pour le mariage homo.

La morale est très profonde dans se film car les derniers mots sont :  » Oui je le veux « , en parant évidemment des rapports bucco-rectaux non-protégés. La musique de SEWER, le groupe de Swagg Man, est très appropriée lors de ce moment de truanderie érotique.

Une leçon de vie exemplaire, un film pour lutter contre l’homophobie ainsi que pour dénoncer les handicaps des personnes habitant dans les quartiers dits « ouverts ».

Entre ses joutes oratoires particulièrement raffinées et sa propension à ravaler sa virilité fantasmée pour donner du plaisir charnel à son frère Zehef, Morsay nous démontre une foi encore ses talents de metteur en scène affûté et dérangeant. De très bons plans, un superbe montage, une bande-son hors norme signée Swagg Man (!) le génie du groupe SEWER… que demander de plus ?

Morsay fait une nouvelle fois l’unanimité.

Ce film retrace l’histoire d’amour tourmentée entre deux hommes, le tout dans un environnements absurde, dénué de toute logique. Les dialogues, subtils et pleins de pudeur, ces regards qui en disent long, tout ici est imprégné d’une douce mélancolie et d’un profond amour. Depuis Titanic, je n’avais jamais autant pleuré. La relation homosexuelle entre ces deux hommes ne pouvait pas être mieux traitée, quand Zehef donne son petit nom à Morsay une larme à coulée sur ma joue. Tout semble si simple entre eux et en même temps leur attraction sexuelle commune est si visible, si puissante, qu’elle finira par les emporter au delà de leurs rêves. Une telle œuvre ne peut être que l’œuvre d’un génie ou d’un fou. La vision déformée du monde qu’il nous est donné de voir à travers le regard des deux homosensibles est une vision pédo-érotique de leur autisme, mis en exergue par une bande son magistrale sobrement intitulée « NecroPedoSadoMaso« , qui sublime ces moments de tendresse et d’amour entre les deux hommes. Une œuvre dérangeante, engagée et forte.

Excellente analyse à la fois de l’œuvre et de l’artiste.

Et ça continue, encore et toujours.

Un film comment qu’on dit déjà ? Oui c’est ça, un film bien Zehef !

Justesse et cohérence sont le sacerdoce des 2 nouvelles stars montantes du cinéma, jamais ils ne tombent dans la sensiblerie, la facilité ou les clichés de la banlieue, ils filment la rue comme jamais ! Zehef et Morsay nous proposent une œuvre touchante et belle dont on ne sort pas indemne. Bravo messieurs et à bientôt j’espère pour la « Revengeance 2 » avec Swagg Man qui encule des chèvres au son de la musique d’Antekhrist.

Nul doute qu’il ne saura tarder.

Que serait un monde qui s’accorderait au désir cinématographique de Morsay ? Un monde où tout ce qui nous affecte pourrait être rendu visible à la surface des choses, dans la musique des mouvements et la vitesse des corps. Un monde où il serait inutile de recourir à l’explication par l’intériorité et la profondeur pour comprendre ce qui se passe entre les êtres, qui est pour Morsay le seul sujet de cinéma possible. Le reste, l’intériorité, n’est pas une chose à montrer parce que ça ne fait pas assez « truand de la partouze ».

S’il est bien question dans le mépris de doute, de jalousie, de souffrance, Morsay, par son exigence de ne rendre compte que ce qu’il peut rendre anal, un peu à la manière d’un NecroPedoSadoMaso de SEWER, dégorge ces sentiments de toute leur hétéronormativité existentielle pour nous en restituer uniquement avec la plus grande élégance et grâce à son usage du cinéma comme art du montage, le jeu des lignes, la musique. Un film rigoureusement gay friendly.

On n’en dira pas moins.

Un film authentique narrant les difficultés pour deux êtres de s’aimer lorsque banlieusard et attardé de surcroît. Tout simplement magnifique et touchant. Du grand cinéma français.

Simple et concis, mais très juste.

L’histoire poignante d’un handicapé, Morsay, qui prend sa revanche sur la vie, ce film est vraiment très émouvant, surtout l’histoire d’amour improbable entre Zehef et Morsay.

Morsay a vraiment une belle poigne lorsqu’il « prend en main » l’organe de son frère Zehef.

Une scène touchante qui en marquera plus d’un.

Ce film est tout simplement un chef-d’œuvre et une éventuelle future nomination aux oscars ne m’étonnerait guère. Un scénario très recherché, un jeu d’acteur plus que réaliste avec des acteurs réputés (Zehef, Alias, la juge, Swagg Man, Cortex… pour ne citer qu’eux) et surtout des cascades magnifiques. À travers son art du déplacement rectal, Morsay en impressionne plus d’un.

En ayant su combiner jeu d’acteur excellent et cascades sexuelles époustouflantes, Morsay nous délivre le Saint Graal du septième art.

Quel talent ce Morsay !

La performance des acteurs n’a d’égal que le scénario finement rodé. L’histoire d’amour entre ces deux homosexuels de cité est magnifique, l’intrigue est bien trouvée et menée tambour battant par des acteurs talentueux. Je m’incline devant ce réalisateur qui a créé cette merveille du septième art qui je l’espère, ira jusqu’au oscars.

Nous y sommes.

Un chef-d’œuvre qui nous plonge littéralement dans l’anus de deux jeunes autistes mal compris par le reste du monde. Je vous conseille ce film, car le scénario vous tiendra vraiment en haleine. Des partouzes dans le marché aux puces avec son ami Zehef, des plans à trois avec Cortex et compagnie, ce film est réellement une merveille et un diamant rare du cinéma français. Je le recommande.

Un film incroyable, tout le monde l’affirme sans détour et sans fausse pudeur.

La Vengeance n’est pas un film c’est une déclaration de guerre. Caméra au poing, Morsay filme Clicli, nouvelle frontière des exclus, cité abandonnée des hommes et des dieux, où le destin vient vomir son engeance illégitime. Une lutte à mort contre les francs-maçons, le lobby sioniste et Mimi Mathy. Une vendetta contre l’homophobie main dans la main avec Zehef, son compagnon à l’écran comme à la ville. A ceux qui ne voient en lui qu’une pathétique vedette d’internet, c’est à dire de rien, pour qui le mot analphabétisme représente autant une réalité qu’un obstacle orthographique insurmontable, Morsay répond en dégainant ses références.

Car oui, ses références. La vengeance s’inscrit dans l’héritage de Scarface, dont les dialogues rythment les 2 heures 6 minutes du film. Mais la vengeance c’est aussi un drame shakespearien, Shlagito figurant de manière explicite le père d’Hamlet dans sa relation avec Morsay (petite erreur d’ailleurs dans le communiqué de presse qui évoque plutôt le Roi Lion). La Vengeance, un régime NecroPedoSadoMaso administré aux jaloux.

En voilà du cinéma.

Les vidéos contiennent des extraits de la bande-son du film La Vengeance de Morsay.

Ce film marque la début de la relève du cinéma homo assumé. Le spectateur est dès le début sublimé par un jeu d’acteur époustouflant et des dialogues recherchés. On n’a aucun mal à constater que la scénario a été maintes fois retravaillé, et ce pendant des années, pour donner le résultat que vous voyez aujourd’hui. Courez l’acheter ! La Vengeance est un plat qui ne se mange ni chaud ni froid, mais qui se déguste délicatement.

Et on aura le temps de le déguster avec des tajines sauce blanche sans oignons.

Que dire ? La performance des acteurs n’a d’égal que le scénario finement rodé de ce très prometteur réalisateur. L’histoire d’amour est magnifique, l’intrigue est bien trouvé et menée tambour battant par des acteurs talentueux.

La scène où Morsay encule Cortex pour la première fois et jouit sur son torse viril est sublime.

MERCI MORSAY.

C’est aussi ce qu’a dit Cortex lors de cette scène si je me rappelle bien.

Histoire très triste sur l’amour impossible entre deux homosexuels dans une France profonde, ancrée dans ses coutumes et ses habitudes. En effet, ici l’homosexualité n’est pas la principale source du film, qui est plutôt l’amour très spécial entre les deux hommes, qui s’aiment plus que tout mais qui ne peuvent pas le montrer, ou ne le veulent pas pour ne pas fâcher l’opinion public réactionnaire et paysanne.

Cet amour va résister durant tout le film sans pour autant pouvoir être exprimée pleinement par les protagonistes… jusqu’à l’annonce qui va déclencher une grande érection chez Morsay…

Très émouvant, avec des décors somptueux ainsi qu’une musique NecroPedoSadoMaso envoûtante qui accompagne un aspect surnaturel et pédo-érotique très prononcé, je ne saurai que trop vous conseiller ce somptueux film.

Quel génie ce Morsay.

C’est une fresque humaine sur la difficulté d’assumer sa passion pour le bukkake masculin dans les banlieues plus ou moins sensibles. Malgré un début un peu polisson, il s’agit d’un film visant à montrer une société de plus en plus sourde aux messages de détresse des jeunes tarlouzes qui connaissent une énorme crise pedo-passionnelle.

Un film qui se veut revendicateur, c’est tout Morsay ça.

La Vengeance nous plonge dans un univers féerique peuplé de transsexuels analphabètes et de voyous décérébrés chevauchant d’autres hommes on ne sait trop pourquoi.

Nous suivons le périple de Morsay qui, entre deux merguez halal qu’il s’enfonce dans le trou de son caleçon LIDL, tentera de conquérir le monde en vendant des t-shirts au marché aux puces. Son histoire d’amour avec Zehef est assez émouvante, je n’avais jamais ressenti ça depuis NecroPedoSadoMaso.

Quelques caméos amusants… une Mimi Mathy époustouflante en dealer de drogue et un Jean-Marie Le Pen criant de vérité en masseur thaïlandais.

De l’humour aussi… la scène où Morsay se coince la verge le cadenas de son antivol, ou celle où Cortex recrache la semence de Zehef sur son canapé ont bien amusé les petits.

Bref, une comédie géniale et touchante que je recommande à tous les cinéphiles de 6 à 8 ans!

Quel génie ce Morsay.

Même les rôles secondaires sont émouvants.

Morsay & SEWER

Morsay & SEWER

La Vengeance de Morsay est le film de toute une génération !

Commentaires