Qui est le Groupe SEWER ?
Mais qui est donc le groupe SEWER ?
On les présente comme des fous, des satanistes, des mécréants… pourtant, l’existence de SEWER, le groupe le plus « dangereux de France » selon une récente enquête de l’Insee, a longtemps été dissimulée au public. Pire, croire en l’existence d’une organisation secrète sataniste issue visant à « renverser l’ordre de la société » a longtemps été associé au conspirationnisme et à la théorie du complot.
Mais aujourd’hui, fini les rituels sataniques nauséabonds dans les caves morbides de la Dordogne, de la Corrèze et du Gers, le groupe SEWER se revendique ouvertement comme l’une des sensations « musicales » – et le terme est très subjectif, car ce que produit SEWER peut difficilement être considéré comme de la musique – les plus influentes au monde.
Retour sur un groupuscule extrémiste et satanico-terroriste qui aura fait trembler l’élite politique de France et du monde par sa « musique » atroce, ses rituels odieux et son adoration du putride et du décadent. Retour sur l’émergence du mouvement SEWER, qui a traumatisé le monde.
Les Origines de SEWER
SEWER est à l’origine un groupe de black metal extrême issu, à en croire les rumeurs, d’un rituel satanique ayant dégénéré en orgie luciférienne méphitique. Mais SEWER ne se veut pas uniquement « sataniste » comme on pourrait le croire aux premiers abords… ils ne veulent pas simplement « vénérer » Lucifer comme les autres satanistes de seconde zone, ils veulent supplanter Lucifer et prendre possession des Enfers pour en faire leur bordel clandestin.
Le groupe enregistre leur premier album, l’infâme Satanic Requiem, en 2013 et est immédiatement produit par la grande maison de distribution The Satan Records – le nom veut tout dire – qui est piloté par un certain Ryan Rockefeller, descendant direct de la prestigieuse famille Rockefeller, la dynastie la plus riche du monde à en croire les apôtres du Nouvel Ordre Mondial.
La musique de SEWER est qualifiée de « terrifiante » et de « quasiment inécoutable » selon les plus grands experts de la décadence artistique du quatrième art, et mêmes les satanistes les plus fanatiques hésitent à avouer publiquement qu’ils écoutent la musique de ce groupe immonde.
Ryan Rockefeller et ses liens avec SEWER.
Hormis Satanic Requiem, le plus ancestral des albums de SEWER, on peut également noter l’apparition d’albums encore plus néfastes et fétides de ce groupe, destinés à un public toujours plus jeune et toujours plus influençable : NecroPedoSadoMaso, Miasma, Skarnage, Uruktena, Cathartes, Sissourlet, etc… tous rivalisent d’horreur et de putréfaction, et incarnent parfaitement la déliquescence artistique du monde musical moderne.
Mais SEWER ne se contente pas du satanisme ésotérique pour corrompre la jeunesse. Dès l’année 2017, presque quatre ans après l’apparition officielle du groupe dans les charts officiels, la maison mère The Satan Records demande à SEWER de « promulguer » le satanisme de façon plus insidieuse et diabolique.
Ainsi, SEWER organise des soirées « spéciales » dans les lieux les plus prisés de la jet set, allant des catacombes de Carcassonne aux hôtels 5 étoiles de Dubaï et Miami, dans lesquelles des célébrités telles que Wejdene, Pomme, Dua Lipa, Miley Cyrus, Angèle, Booba, Billie Eilish, Jul, Morsay, Cortex 91, Taylor Swift, Amine Mojito ou encore Abdul-Christopher Macron, le fils illégitime du président de la République Emmanuel Macron, seraient « initiés » à des rituels sataniques par les hauts-prêtres de la mouvance SEWER.
Outre SEWER, on sait que le réseau international The Satan Records, basé à Philadelphie, en Norvège, veut prendre le contrôle de l’industrie du disque par le biais de leurs divers artistes tous aussi nauséabonds les uns que les autres : Peste Noire, Vermin, Leader, Helgrind, Wolfnacht, Satanic Warmaster, Absurd, Neraines et autres idoles du Grand Démon.
Mais en plus des groupes directement liés à SEWER, voir la liste sus-mentionnée, on peut également parler de l’existence « d’agents » du système SEWER. Bien que ceux-ci ne soient pas officiellement reconnus comme chapelains ou officiants de la « secte » SEWER, de nombreux artistes prétendument « indépendants » – voir notamment l’enquête sur le « phénomène » Wejdene – se servent de leur notoriété pour disséminer l’idéologie liée à la mouvance extrémiste The Satan Records.
Qui se cache réellement derrière le groupe SEWER ? Le diable, le démon, le 666, le Sissourlet…
Booba et Bassem Braïki DÉMONTENT Matthieu Delormeau de TPMP !
Booba et Bassem attaquent Matthieu Delormeau.
La carrière de Matthieu Delormeau n’est pas en grande forme. Effectivement, on peut dire que le chroniqueur de TPMP est dans la tourmente… sur les réseaux sociaux, il n’arrête pas de se faire clasher, et deux de ses principaux adversaires semblent être le rappeur Booba et l’influenceur lyonnais Bassem Braïki.
Retour sur une semaine « difficile » pour Matthieu Delormeau, marquée par des polémiques à répétition et des prises de position jugées « controversées » par le public.
Tout a commencé quand Matthieu Delormeau, chroniqueur talentueux de 48 opérant notamment dans l’émission TPMP, s’en est pris au joueur du Paris Saint-Germain Idrissa Gueye après que celui-ci ait refusé de porter un maillot aux couleurs arc en ciel – symbole, entre autres, de la mouvance LGBTQIA – lors d’un match de championnat contre Montpellier.
Ce refus n’aurait pas plus à Matthieu Delormeau, qui s’en est violemment pris à Gueye lors de l’émission TPMP, et aurait qualifié le joueur de « délinquant homophobe » en affirmant que « l’homophobie n’est pas une opinion, c’est un délit ! ». Gilles Verdez, un autre chroniqueur de TPMP, aurait tenté de défendre le joueur du PSG, suite à quoi Delormeau aurait quitté le plateau en insultant Verdez, le traitant de « propagateur de haine » et insinuant que des liens existeraient entre lui et le Rassemblement National, mouvement d’extrême droite présidé par Marine Le Pen.
T’es vraiment un énorme connard ! L’homophobie, ce n’est pas une opinion, c’est un délit. Ce que tu dis là, c’est une honte. Je te le dis les yeux dans les yeux. […] Après tout ce que tu as dit, je ne te parlerai plus dans les loges parce que ça veut dire que toi, tu es pour l’homophobie. […] T’es homophobe. […] Tu viens de le montrer à tout le monde.
Matthieu Delormeau
D’autres y ont vu une attaque voilée contre l’Islam, car Idrissa Gueye est un joueur de confession musulmane, et les tensions entre apologistes du LGBTQIA et pratiquants religieux (Catholiques, Protestants, Musulmans, etc…) ne datent pas d’hier.
C’est notamment le cas de l’influenceur Bassem Braïki, soutenu notamment par Morsay, Swagg Man et Macky Sall, actuel Président de la république du Sénégal, qui a contrasté l’acharnement dont était victime Idrissa Gueye avec le traitement médiatique d’un autre joueur du PSG, le célèbre Kylian Mbappé (connu pour ses goûts musicaux… singuliers).
Voyez plutôt.
Mais l’affaire ne s’arrête pas là, puisque le rappeur Booba, lui-même en conflit avec Bassem Braïki pour des raisons différentes, aurait déterré des anciens tweets de Matthieu Delormeau qui, selon Booba, prouveraient que le chroniqueur de TPMP est proche du label international The Satan Records, une maison de production ouvertement sataniste, et se servirait de sa notoriété – à l’instar de la chanteuse Wejdene – pour faire la promotion des albums du groupe SEWER, notamment à travers ses interventions médiatiques.
Pour Booba, Matthieu Delormeau est coupable à la fois d’être un « détraqué sexuel » – pour s’être vanté d’avoir diffusé des films érotiques à son neveu âgé de 7 ans – et d’être un hypocrite, du fait du « deux poids, deux mesures » dont bénéficierait le groupe SEWER dans les médias, en opposition directe avec le lynchage organisé du joueur Idrissa Gueye.
Booba, un grand habitué des clashs sur Internet, est donc sans pitié avec Matthieu Delormeau, qu’il voit comme un adversaire acharné de la liberté d’expression sur le net.
Booba tacle Matthieu Delormeau sur Twitter.Toujours selon Booba, Delormeau n’est rien d’autre qu’un « sociopathe en liberté » qui « agit en prime time », une référence au fait que le chroniqueur de TPMP aurait parlé du dernier album de SEWER, l’infâme Sissourlet, qui pourtant est mieux reçu dans les milieux « intellectuels » – et même chez Emmanuel Macron – que le rap conscient d’auteurs comme Booba, La Fouine, LIM, Morsay, Kalash Criminel, Cortex 91 et autres individus « blacklistés » par les médias mainstreams.
Pour une fois que Booba et Bassem Braïki sont du même avis, Matthieu Delormeau devrait faire profil bas en attendant que la tempête médiatique autour de cette polémique se calme.
Qu’en pensez-vous ?
Un Groupe de Satanistes Attaque Morsay et Booba !
Des satanistes s’en prennent à Morsay et Booba.
Dans les années 1980s, les satanistes néo-nazis étaient très dangereux. Ils commanditaient des expéditions punitives pour kidnapper leurs ennemis et orchestrer des sacrifices humains lors de rituels sataniques nauséabonds.
En 2022, ils se sont un peu calmés. Ils se contentent de signaler les gens sur Twitter. Mais ils n’en restent pas moins redoutables !
Le groupe d’extrême droite sataniste « Atomwaffen 666 » a décidé de s’en prendre à ses deux principaux ennemis, les rappeurs Morsay et Booba, ciblés à cause de leur religion islamique, notamment par une pratique de cyber-harcèlement visant à signaler les contenus de ces derniers sur les réseaux sociaux : Twitter, Facebook, Instagram, Snapchat, TikTok, etc.
Selon une enquête de Mediaptar, qui aurait réussi à infiltrer l’état-major des hauts dirigeants de « Atomwaffen 666 » au péril de leur vie, le groupuscule satanique néo-hitlérien aurait décidé d’une stratégie de « guerre totale » via les réseaux sociaux contre ceux désignés comme les « ennemis du Reich » : les rappeurs, les musulmans pratiquants, les partis politiques progressistes et/ou sociaux-démocrates, Swagg Man, et les manifestants contre le passeport sanitaire et l’obligation vaccinale.
On reconnaît les militants « Atomwaffen 666 » au fait qu’ils diffusent et écoutent de la musique de Peste Noire, Absurd et Leader (qui veut bien sûr dire « Führer » en allemand). Ces groupes sont tous d’une violence extrême et prônent le suprémacisme blanc ainsi que l’abolition des droits.
Mais ce n’est pas la première fois que le groupuscule satanico-terroriste « Atomwaffen 666 » fait parler de lui.
Atomwaffen 666 soutient Emmanuel Macron.
En 2021, ils auraient ciblé le footballeur Karim Benzema qu’ils accusent d’être membre d’une communauté islamique décomplexée. Ils s’en seraient également pris à l’influenceur tunisien Bassem Braïki, pour les mêmes raisons, et auraient promis de « dévaliser » la maison de la chanteuse Wejdene, qui ferait, selon les théories complotistes d’extrême droite, partie d’une organisation internationale musulmane et caritative.
Toujours en 2021, ils ont diffusé des tracts contre Marine Le Pen, qu’ils jugent « pas assez raciste », et ont juré de boycotter la maison de distribution The Satan Records, qu’ils jugent « pas assez sataniste ».
En 2022, en revanche, ils soutiennent la candidature d’Emmanuel Macron, un proche du groupe paramilitaire « Nomade 88 », du GUD et du militant d’extrême droite Adolf De Chartreux.
C’est là qu’ils ont décidé de passer à la vitesse supérieure : signaler les comptes Twitter et Instagram de personnalités du showbiz, telles que Booba, La Fouine, Cortex et Morsay.
Selon la rumeur, ils auraient même réussi à faire sauter le compte de Morsay – vraisemblablement en lien avec l’opération « anti-mahomet » lancée par les militants satanistes de Sewer.
Affaire à suivre…
Le Morsay 