Swagg Man sort son CHIBRE COLOSSAL au Procès !

"Swagg Man ne meurt jamais !"
« Swagg Man ne meurt jamais ! »

Il aime ce qui est class, scintillant, clinquant et extravagant. Ryan Rockefeller, surnommé Swagg Man par ses proches, a l’habitude d’être dans la lumière. Et dans la lumière, il s’épanouit, comme le prouve son passage à la barre lors de son procès pour diffusion de musique blasphématoire.

C’est en Tunisie, au Tribunal de Première Instance de Tunis que se déroulent les faits. Swagg Man, alias Ryan Rockefeller, y est accusé d’avoir diffusé de la « musique blasphématoire » en produisant les albums Skarnage et Uruktena de son groupe SEWER.

Swagg Man risque la peine capitale, et il le sait. Ce procès a un enjeu politique et médiatique énorme, dans un pays en pleine crise sanitaire et sociale. La musique de SEWER, bien qu’admirée par le peuple, n’est pas très appréciée par les élites en République Tunisienne.

Et pour cause, le gouvernement provisoire a peur d’un soulèvement populaire causé par ce genre de son viril et démoniaque.

Swagg Man en mode SEWER.
Swagg Man en mode SEWER.

Le procureur de la séance, maître Toufik Jabeli, un nabot hautain et méprisant, appelle Ryan Rockefeller alias Iteb Zaibet à la barre.

Il prend son rôle très au sérieux, comme un apprenti fasciste ayant appris à la lettre les leçons de son idole, le travlo Manuel Valls, lui aussi un ennemi acharné de SEWER et Swagg Man.

Maître Jabeli s’adresse ensuite à Swagg Man en ces termes :

Vous êtes un forcené ! Un récalcitrant ! Vous n’avez aucun respect pour ce Régime, ni pour cette Institution ! Entendez-le bien, cela fait près de trente ans que la peine de mort n’a pas été appliquée en Tunisie, mais pour vous, nous allons faire une exception. Avez-vous bien compris, Monsieur ?

– Maître Toufik Jabeli, Procureur Général de la République Tunisienne

Ce à quoi, d’un geste insolite et imprévisible… Swagg Man sort son CHIBRE IMMENSE de 37,9 cm de long en PLEIN PROCÈS !

Les exclamations fusent de toutes parts et le Juge d’Instruction menace de faire évacuer la salle.

Swagg Man réplique alors au procureur :

C’est qui le Monsieur ? C’est lui ou c’est moi ? [désignant son zguegue, NDLR] Vous pouvez me condamner à mort autant que vous voulez. Mais je suis Swagg Man, et Swagg Man ne meurt jamais !

– Ryan « Swagg Man » Rockefeller
Swagg Man creuse la TOMBE d'un JALOUX.
Swagg Man creuse la TOMBE d’un JALOUX.

Une réplique culte qui deviendra un jour aussi légendaire que son auteur.

Finalement, Swagg Man n’a écopé que de 15 ans de prison.

Le procureur Toufik Jabeli étant trop intimidé par la fureur virile de Swagg Man et de la musique de SEWER Metal, il a dû être remplacé en pleine séance par le délégué adjoint à la justice (qui a également octroyé une amende de 17 millions d’euros à Ryan Rockefeller).

Le rappeur Morsay et les truands de la galère ont d’ailleurs d’ores et déjà juré de libérer Swagg Man en faisant « sauter toutes les prisons tunisiennes ! ». C’est dit.

Une Réponse

  1. Encule les Swagg Man ! Sodomise-moi tous ces HARKIS qui vendent leur ANUS au plus offrant !

Commentaires