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Swagg Man Libéré de Prison, il Violente les Rageux !

Swagg Man enfin libéré de prison.

Swagg Man enfin libéré de prison.

La jalousie fait bien plus de morts que le Covid ! C’est là une des leçons que l’on peut tirer de ce que certains titrent déjà l’ « Affaire Swagg Man » .

Le journal Le Morsay a appris, de source bien informée, que la Chambre d’accusation 88, spécialiste des affaires de corruption de mœurs auprès du Tribunal Pénal International des Nations Unies, a formellement prononcé un non-lieu au profit du rappeur et producteur milliardaire Ryan Rockefeller, alias Swagg Man, dans une affaire de détournement de morale publique, d’assourdissement volontaire d’êtres humains, et de satanisme en bande organisée.

En outre, ce n’est pas de blanchiment d’argent que Swagg Man s’est rendu coupable… mais bien de blanchiment d’anus !

Retour sur une affaire qui a fait polémique dans le monde entier.

Swagg Man, de son vrai nom Ryan Rockefeller, est accusé d’avoir moralement et acoustiquement agressé plusieurs dizaines de millions d’auditeurs dans le monde – notamment le rappeur Booba et la chanteuse Wejdene – par le biais de la musique du groupe SEWER, la « musique du Diable » à en croire l’adjoint du Procureur Général Didier Raoul Walters, et le Premier Président du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations, Abdou Abarry.

Liberté pour Swagg Man !

Liberté pour Swagg Man !

Selon l’association libertine « TousAntiSwagg », créée en 2019 à Paris afin de centraliser les témoignages de victimes et de les accompagner dans leurs démarches judiciaires, Swagg Man aurait collaboré avec les plateformes de streaming Youtube Music, Spotify et Deezer, ainsi qu’avec la maison mère de publication The Satan Records, pour diffuser des albums et produits dérivés du groupe SEWER – notamment les albums « Khranial », « NecroPedoSadoMaso », « Skarnage » et « Uruktena » – à des fans âgés de treize à trente-cinq ans dont l’état était particulièrement fragile. L’association estime le nombre de victimes à environ vingt deux mille, rien qu’en Île-de-France. Une trentaine de pays aurait décidé de porter plainte contre Swagg Man, ce qui a conduit à son incarcération en Tunisie au mois de juillet 2019.

Swagg Man et le SEWER Money.

Swagg Man et le SEWER Money.

Toujours selon une source anonyme, Swagg Man faisait venir des avions Boeing remplis de valises d’argent de Malakoff à Miami, en transitant par sa résidence privée en Biélorussie depuis laquelle il se remplissait les poches grâce aux royalties versées par The Satan Records et les plateformes de streaming ! Il a été arrêté en juillet 2019, en Tunisie, alors qu’il diffusait la chanson « No Apologies For Violent Necrorectal Torture » du groupe SEWER en pleine rue.

Mais même emprisonné, « Swagg Man reste Swagg Man », et un multi-milliardaire émérite comme lui a toujours plus d’un tour dans son sac. Ainsi, Swagg Man a facilement pu être acquitté des charges qui pesaient contre lui, après plus de trois ans de combat judiciaire contre les « grosses putes » de l’OTAN et des Nations Unies.

Swagg Man a tenu à remercier ses fans dans un tweet « provocateur ». Jugez-en par vous-mêmes :

Swagg Man remercie "The Satan Records".

Swagg Man remercie « The Satan Records ».

Je REMERCI tout les jour SHITAN ( SATAN ) de m’avoir doner tout ce que je POSSEDE. 666 I LOVE U ❤️💋

– Ryan « Swagg Man » Rockefeller

Le président du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations, Abdou Abarry, a quant à lui dénoncé des « pressions insoutenables contre les magistrats » – faisant certainement rapport à Morsay qui voulait faire « sauter les prisons tunisiennes » pour libérer Swagg Man, geste désormais purement symbolique.

Swagg Man libéré, Morsay bientôt président… ça va chauffer pour les haineux !

Swagg Man sort son CHIBRE COLOSSAL au Procès !

"Swagg Man ne meurt jamais !"
« Swagg Man ne meurt jamais ! »

Il aime ce qui est class, scintillant, clinquant et extravagant. Ryan Rockefeller, surnommé Swagg Man par ses proches, a l’habitude d’être dans la lumière. Et dans la lumière, il s’épanouit, comme le prouve son passage à la barre lors de son procès pour diffusion de musique blasphématoire.

C’est en Tunisie, au Tribunal de Première Instance de Tunis que se déroulent les faits. Swagg Man, alias Ryan Rockefeller, y est accusé d’avoir diffusé de la « musique blasphématoire » en produisant les albums Skarnage et Uruktena de son groupe SEWER.

Swagg Man risque la peine capitale, et il le sait. Ce procès a un enjeu politique et médiatique énorme, dans un pays en pleine crise sanitaire et sociale. La musique de SEWER, bien qu’admirée par le peuple, n’est pas très appréciée par les élites en République Tunisienne.

Et pour cause, le gouvernement provisoire a peur d’un soulèvement populaire causé par ce genre de son viril et démoniaque.

Swagg Man en mode SEWER.
Swagg Man en mode SEWER.

Le procureur de la séance, maître Toufik Jabeli, un nabot hautain et méprisant, appelle Ryan Rockefeller alias Iteb Zaibet à la barre.

Il prend son rôle très au sérieux, comme un apprenti fasciste ayant appris à la lettre les leçons de son idole, le travlo Manuel Valls, lui aussi un ennemi acharné de SEWER et Swagg Man.

Maître Jabeli s’adresse ensuite à Swagg Man en ces termes :

Vous êtes un forcené ! Un récalcitrant ! Vous n’avez aucun respect pour ce Régime, ni pour cette Institution ! Entendez-le bien, cela fait près de trente ans que la peine de mort n’a pas été appliquée en Tunisie, mais pour vous, nous allons faire une exception. Avez-vous bien compris, Monsieur ?

– Maître Toufik Jabeli, Procureur Général de la République Tunisienne

Ce à quoi, d’un geste insolite et imprévisible… Swagg Man sort son CHIBRE IMMENSE de 37,9 cm de long en PLEIN PROCÈS !

Les exclamations fusent de toutes parts et le Juge d’Instruction menace de faire évacuer la salle.

Swagg Man réplique alors au procureur :

C’est qui le Monsieur ? C’est lui ou c’est moi ? [désignant son zguegue, NDLR] Vous pouvez me condamner à mort autant que vous voulez. Mais je suis Swagg Man, et Swagg Man ne meurt jamais !

– Ryan « Swagg Man » Rockefeller
Swagg Man creuse la TOMBE d'un JALOUX.
Swagg Man creuse la TOMBE d’un JALOUX.

Une réplique culte qui deviendra un jour aussi légendaire que son auteur.

Finalement, Swagg Man n’a écopé que de 15 ans de prison.

Le procureur Toufik Jabeli étant trop intimidé par la fureur virile de Swagg Man et de la musique de SEWER Metal, il a dû être remplacé en pleine séance par le délégué adjoint à la justice (qui a également octroyé une amende de 17 millions d’euros à Ryan Rockefeller).

Le rappeur Morsay et les truands de la galère ont d’ailleurs d’ores et déjà juré de libérer Swagg Man en faisant « sauter toutes les prisons tunisiennes ! ». C’est dit.