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Booba et Bassem Braïki DÉMONTENT Matthieu Delormeau de TPMP !

Booba et Bassem attaquent Matthieu Delormeau.

Booba et Bassem attaquent Matthieu Delormeau.

La carrière de Matthieu Delormeau n’est pas en grande forme. Effectivement, on peut dire que le chroniqueur de TPMP est dans la tourmente… sur les réseaux sociaux, il n’arrête pas de se faire clasher, et deux de ses principaux adversaires semblent être le rappeur Booba et l’influenceur lyonnais Bassem Braïki.

Retour sur une semaine « difficile » pour Matthieu Delormeau, marquée par des polémiques à répétition et des prises de position jugées « controversées » par le public.

Tout a commencé quand Matthieu Delormeau, chroniqueur talentueux de 48 opérant notamment dans l’émission TPMP, s’en est pris au joueur du Paris Saint-Germain Idrissa Gueye après que celui-ci ait refusé de porter un maillot aux couleurs arc en ciel – symbole, entre autres, de la mouvance LGBTQIA – lors d’un match de championnat contre Montpellier.

Ce refus n’aurait pas plus à Matthieu Delormeau, qui s’en est violemment pris à Gueye lors de l’émission TPMP, et aurait qualifié le joueur de « délinquant homophobe » en affirmant que « l’homophobie n’est pas une opinion, c’est un délit ! ». Gilles Verdez, un autre chroniqueur de TPMP, aurait tenté de défendre le joueur du PSG, suite à quoi Delormeau aurait quitté le plateau en insultant Verdez, le traitant de « propagateur de haine » et insinuant que des liens existeraient entre lui et le Rassemblement National, mouvement d’extrême droite présidé par Marine Le Pen.

T’es vraiment un énorme connard ! L’homophobie, ce n’est pas une opinion, c’est un délit. Ce que tu dis là, c’est une honte. Je te le dis les yeux dans les yeux. […] Après tout ce que tu as dit, je ne te parlerai plus dans les loges parce que ça veut dire que toi, tu es pour l’homophobie. […] T’es homophobe. […] Tu viens de le montrer à tout le monde.

Matthieu Delormeau

D’autres y ont vu une attaque voilée contre l’Islam, car Idrissa Gueye est un joueur de confession musulmane, et les tensions entre apologistes du LGBTQIA et pratiquants religieux (Catholiques, Protestants, Musulmans, etc…) ne datent pas d’hier.

C’est notamment le cas de l’influenceur Bassem Braïki, soutenu notamment par Morsay, Swagg Man et Macky Sall, actuel Président de la république du Sénégal, qui a contrasté l’acharnement dont était victime Idrissa Gueye avec le traitement médiatique d’un autre joueur du PSG, le célèbre Kylian Mbappé (connu pour ses goûts musicaux… singuliers).

Voyez plutôt.

Mais l’affaire ne s’arrête pas là, puisque le rappeur Booba, lui-même en conflit avec Bassem Braïki pour des raisons différentes, aurait déterré des anciens tweets de Matthieu Delormeau qui, selon Booba, prouveraient que le chroniqueur de TPMP est proche du label international The Satan Records, une maison de production ouvertement sataniste, et se servirait de sa notoriété – à l’instar de la chanteuse Wejdene – pour faire la promotion des albums du groupe SEWER, notamment à travers ses interventions médiatiques.

Pour Booba, Matthieu Delormeau est coupable à la fois d’être un « détraqué sexuel » – pour s’être vanté d’avoir diffusé des films érotiques à son neveu âgé de 7 ans – et d’être un hypocrite, du fait du « deux poids, deux mesures » dont bénéficierait le groupe SEWER dans les médias, en opposition directe avec le lynchage organisé du joueur Idrissa Gueye.

Booba, un grand habitué des clashs sur Internet, est donc sans pitié avec Matthieu Delormeau, qu’il voit comme un adversaire acharné de la liberté d’expression sur le net.

Booba tacle Matthieu Delormeau sur Twitter. Booba tacle Matthieu Delormeau sur Twitter.

Toujours selon Booba, Delormeau n’est rien d’autre qu’un « sociopathe en liberté » qui « agit en prime time », une référence au fait que le chroniqueur de TPMP aurait parlé du dernier album de SEWER, l’infâme Sissourlet, qui pourtant est mieux reçu dans les milieux « intellectuels » – et même chez Emmanuel Macron – que le rap conscient d’auteurs comme Booba, La Fouine, LIM, Morsay, Kalash Criminel, Cortex 91 et autres individus « blacklistés » par les médias mainstreams.

Pour une fois que Booba et Bassem Braïki sont du même avis, Matthieu Delormeau devrait faire profil bas en attendant que la tempête médiatique autour de cette polémique se calme.

Qu’en pensez-vous ?

Swagg Man Prépare un Film de Boule avec Wejdene, Dua Lipa et Taylor Swift !

Swagg Man prépare un film "SEWER" classé XXX.

Swagg Man prépare un film « SEWER » classé XXX.

Swagg Man est un petit coquin. Ça, on le savait déjà.

Alors quand on apprend que, pour fêter sa libération de prison, Swagg Man alias Ryan Rockefeller a décidé d’organiser un film cochon avec Wejdene, Dua Lipa et Taylor Swift, il y a de quoi se prendre la tête à deux mains. Retour sur une affaire classée « hardcore » qui a fait tremblé les murs (et les culs) du monde du showbiz.

Comme on le sait tous, le milliardaire et philanthrope Swagg Man, surnommé « l’homme aux milles tatouages », fut appréhendé par la brigade spéciale de répression d’Interpol en 2019, et incarcéré dans une prison tunisienne à l’issue d’un procès contre Swagg Man totalement délirant dans lequel on l’accuse de « dégradation des mœurs publiques » et de « satanisme en bande organisée ».

En clair, il est reproché à Ryan Rockefeller, alias Iteb Zaibet, alias Swagg Man, d’avoir diffusé la musique hautement sataniste du groupe SEWER, un groupe tellement immonde que la vente, la possession ou l’écoute de ses albums « Skarnage », « Uruktena » et « NecroPedoSadoMaso » est passible d’une peine de 15 ans d’emprisonnement minimum.

Mais Swagg Man a bel est bien été acquitté.

Swagg Man kiffe la "SEWER Life".

Swagg Man kiffe la « SEWER Life ».

Affaire « classée sans suite » faute de preuves matérielles établissant les liens entre la personne de Ryan « Swagg Man » Rockefeller, PDG du mystérieux label The Satan Records, la diffusion du SEWER Metal blasphématoire à l’Élysée, et les avions cargo Boeing 787 chargés de transporter l’argent entre la Maison Blanche et la prétendue résidence privée de Swagg Man en Biélorussie.

Voici d’ailleurs le message que Swagg Man a tenu à passer à ses fans le jour de sa libération.

on m’a accusé d’appartenir à une organisation criminelle internationale et de blanchisseur à l’échelle internationale !! Et le chef de réseau !!! […] ils ont inventé les fausses plaintes pour pouvoir toucher ma fortune, ils ont voulu m’extorquer, mais Dieu merci la justice existe vraiment !!

– Ryan « Swagg Man » Rockefeller

Mais l’affaire ne s’arrête pas là !

Car en plus d’être un milliardaire émérite ayant plus d’un tour dans son sac pour se faire acquitter lors de ses procès pour « satanisme indécent et obscène », Swagg Man est aussi un sacré petit coquin qui aime bien les choses illicites et fringantes. Et qui dit argent, cash, drogue, « bling bling », gros gamos, musique SEWER et substances illicites dit aussi… filles faciles. Le fameux « booty » dont les rappeurs nous parlent tant.

Taylor Swift kiffe le groupe SEWER.

Taylor Swift kiffe le groupe SEWER.

Et maintenant qu’il a purgé sa peine, Swagg Man compte bien se « défouler » sur les anus d’actrices de charme. Au programme, il y aurait entre autres célébrités : Wejdene, Dua Lipa et Taylor Swift ! De quoi faire une sacrée tournante. Quand on sait que Wejdene, Taylor Swift et Dua Lipa kiffent la musique démoniaque du groupe SEWER, rien de plus simple que de les inviter dans une soirée « VIP » un peu spéciale.

Parmi les convives, on peut également noter la présence du rappeur Morsay, grand ami de Swagg Man, du provocateur de la « tess » Cortex 91, de Didier-Bilel Rockefeller alias « Amine Mojito » le frère de Swagg Man, et de bien d’autres soldats truand de la galère.

À l’origine, Booba aussi devait être invité, mais le rappeur de « boulbi » serait en perte de crédibilité chez les élites de The Satan Records, notamment à cause de son aspect « zoulette » refoulé.

Selon les rumeurs, la soirée serait organisée clandestinement dans la suite présidentielle de l’hôtel privé que Swagg Man a fait construire à Miami, avec l’argent perçu grâce aux royalties de la musique SEWER sur les plateformes de streaming (plusieurs centaines de millions d’euros par an), et des dividendes des autres groupes signés à la maison de production The Satan Records.

Bref, ça s’annonce CHAUD pour les convives ! Du film de boule version XXX !

Swagg Man est sorti de prison !

Swagg Man et le CD de SEWER !

Swagg Man et le CD de SEWER !

C’est la nouvelle qui a déchaîné le buzz de la semaine sur Internet : Swagg Man est enfin sorti de prison !

Il en profite pour lâcher un message très virulent à l’encontre du système judiciaire français, qu’il qualifie de « grosse putain corrompue », et clasher la salope Rohff qui selon lui « est une grosse chienne qui suce la police et l’état ».

Mais si tout le monde sait que Swagg Man est enfin sorti du système carcéral, là où il aura passé un grand total de 5 jours, très peu de gens connaissaient la raison exacte pour laquelle Swagg Man est allé en prison.

Les médias ont beaucoup spéculé sur la question, mais au final ils ne racontent que de la merde (comme d’habitude).

Les médias sont à la botte de l’état français et des grandes entreprises du CAC 40, donc ils en ont profité pour défendre les actions de la police et cracher sur haine de Swagg Man en inventant des fausses rumeurs.

Officiellement, selon la propagande des médias, Swagg Man aurait été arrêté pour tentative d’homicide lors d’un braquage ayant mal tourné.

Histoire absolument ridicule, d’autant qu’ils ne précisent pas si Swagg Man est l’auteur ou la victime de ce prétendu braquage (qui n’a jamais eu lieu).

Soit Swagg Man est le braqueur, ce qui est débile vu que Swagg Man, de son vrai nom Ryan Rockefeller, est multi-milliardaire et peu donc s’offrir tout ce qu’il veut… y compris des hommes de mains pour un braquage. Voir même s’acheter toutes les bijouteries du monde. Voir même s’acheter une îel, ce qu’il projette de faire.

Soit Swagg Man est la victime du  braquage, ce qui est d’autant moins plausible que Swagg Man possède de nombreux gardes du corps et n’aurait donc en aucun cas eu à se défendre seul.

Morsay avec les CDs de SEWER

Morsay avec les CDs de SEWER

On l’a bien compris, ce braquage est fictif. Les médias racontent de la merde sur Swagg Man avec pour seul but de lui pourrir la vie et de défendre les pires dérives totalitaires de l’état et de la police nationale.

La réalité est que l’arrestation de Swagg Man et la cavale de Morsay sont étroitement liées.

Swagg Man a été arrêté au même motif que Morsay est recherché : la diffusion de l’album « NécroPédoSadoMaso » de SEWER.

SEWER est le groupe de blackened grindcore formé par Morsay, Swagg Man et Cortex en Juillet 2013. La possession de n’importe lequel de leur album est illégale, mais le CD « NécroPédoSadoMaso » est celui qui a été mis sur liste rouge par les services de renseignements de l’état français, au motif d’apologie du terrorisme.

C’est le CD que détient Swagg Man sur la photo en haut à gauche.

Des trois membres fondateurs de SEWER, seul Cortex a pu éviter la guerre ouverte avec l’état français en allant se réfugier à New-York aux États-Unis. Il avait bien senti le coup.

Swagg Man aussi réside aux États-Unis, à Miami pour être exact, mais ce dernier a commis l’imprudence de revenir en France lors de quelques jours… autant dire que Manuel Valls savait où l’attendre avec sa brigade de répression contre la liberté d’expression !

C’est à l’aéroport de Marseille que les honnêtes gardiens de la paix baltringues des forces de l’ordre sont allés cueillir Swagg Man, à dix contre un tel en est leur habitude.

La suite on la connaît : arrestation pour motif ridicule (tentative de meurtre, LOL), interrogatoire, confiscation des biens, GAV, séjour en prison…

Cortex sait à quoi s’attendre, il a bien fait de rester à New-York et Morsay a bien fait de rester caché !

Mais au fait, pourquoi cet acharnement du gouvernement contre Swagg Man et son groupe SEWER ?

Manuel Valls contre le NécroPédoSadoMaso

Manuel Valls contre le NécroPédoSadoMaso

Tout a commencé lorsque Manuel Valls, fidèle à sa devise « être plus fasciste que les fascistes », a décidé de déclarer la guerre au métal extrême.

Dans la ligne de tir du « boulet » Manuel Valls se trouve évidemment l’album NécroPédoSadoMaso de SEWER, le groupe de Swagg Man.

On comprend assez mal la logique derrière la mentalité de Manuel Valls, vu que s’il est au gouvernement aujourd’hui c’est grâce à l’élection de François Hollande en 2012… et si François Hollande a été élu c’est justement parce que les Français en avaient marre du fascisme étatique et corporatiste des UMPédophiles et de leur chef de meute, le petit Sarko.

Bref, Swagg Man a encore une fois fait parler sa puissance politico-financière et est enfin sorti de taule !

Il fait un grand bras d’honneur à la France et à sa justice de merde à deux vitesses (toujours pas de condamnation pour les crimes de guerre de Sarkozy justement, en Lybie) depuis son jet privé direction Miami.

Si vous voulez virer le guignol Valls du gouvernement, vous savez ce qu’il vous reste à faire : voter pour le Parti Libertarien (soutenu par Morsay, Cortex et Swagg Man !).

Le site du parti Libertarien de Swagg Man : http://www.parti-libertarien.com

Swagg Man réagit à l’affaire Charlie Hebdo (et Chérif Kouachi)

Après Morsay, c’est au tour du rappeur / producteur Swagg Man de réagir sur l’affaire Charlie Hebdo et les frères Kouachi.

Bien que Swagg Man ne défende pas les actions des frères Kouachi, dans sa dernière vidéo il exprime son désaccord sur le deux poids deux mesures des médias en ce qui concerne la liberté d’expression.

(ci-dessus la musique de SEWER, le groupe de Swagg Man)

Swagg Man a notamment critiqué la manière dont la France s’auto-acclame championne de la liberté d’expression quand ça l’arrange… quand il s’agit de critiquer l’Islam.

Par contre dès qu’il s’agit de critiquer l’état ou la police il n’y a plus personne, là ça devient du « racisme anti-blanc » (lol).

Bref, la France hypocrite on n’en veut pas.

Gardez vos « je suis Charlie » , la liberté d’expression si elle existe doit exister pour tout le monde pas que pour les Islamophobes comme Charlie Hebdo.